Le jour où j’ai frimé dans la grande parade de la Tall Ships Race à Aalborg

Aujourd'hui, je profite de mon bracelet magique offert par la Tall Ships Race et qui me donne un libre accès à une sélection de musées : le musée d'histoire de la ville, le musée de l'armée danoise et le musée de la marine. Entre ces musées, je prends le temps de découvrir la ville, mais sans trop trainer non plus pour ne pas manquer la parade de l'après-midi : je défile avec mes camarades apprentis marins du Christian Radich.

Le soir, c'est crew party ! buffet à volonté, sur invitation uniquement et musique à gogo !

Les photos du jour :

Commentaires

Avez-vous ri, pleuré, eu envie de partager une expérience en me lisant, ou aimé les photos... ou pas... et si vous m'écriviez un petit mot ? Les questions sont les bienvenues même si je ne suis pas sûre d'avoir la réponse

3 commentaires sur “Le jour où j’ai frimé dans la grande parade de la Tall Ships Race à Aalborg”

  1. Ro dit :

    Des visites comme tu les maîtrises, avec un temps agréable. J'ai hâte de voir l'ensemble des photos!

    Tu dois être fière d'avoir participé à la parade en tant que marin, au milieu de prestigieux équipages.

    Votre classement dans la course doit te satisfaire également. Bravo pour le Christian Radich!
    Seras-tu dans la compétition à Sète l'an prochain?

    • Sandrine77 dit :

      Je pense être de la partie l'an prochain à Sète, mais ce ne sera pas une compétition (pour les 350 ans du port de Sète). Départ de Barcelone, arrivée à Sète... un vrai voyage au long cours !! Rigolez pas, svp.

    • Sandrine77 dit :

      Tu verras, mes photos sont pleines de bateaux : des petits, des moyens, des gros, des zénormes, avec des vues de dehors, de dedans, en entier ou en gros plans.
      C'est vrai que c'est assez géant de participer à la même parade que les bateaux comme le Kruzenshtern, le MIR, le Cisne Branco et tous ces navires de l'armée qui n'ont à bord presque que des professionnels, et se dire qu'on a fait mieux qu'eux, c'est encore mieux.
      8èmes, c'est pas mal, mais visiblement, le plus important était de battre le Stadtrat Lehmkuhl. C'est une expérience hors du commun. Faudra que je recommence avec un équipage aussi motivé que les norvégiens qui m'accompagnaient... et surtout, sans ma nuque abîmée !

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