Le jour où le départ avait un mauvais goût d’abandon

Il est bien trop tôt pour se lever, surtout que j'ai très mal dormi à cause des radiateurs qui ont tourné à fond toute la nuit sans que l'on n'y puisse rien, et qui m'ont obligée à dormir la vitre ouverte malgré le bruit de la rue. Il est bien trop tôt et j'aimerais dormir, mais quand faut y aller, faut y aller. Debout tout le monde, il est 3h, l'heure de tomber du lit, passer à la salle de bain, se brosser les dents avant d'aller déjeuner (pas très logique, mais la logistique de fin de voyage, c'est parfois un peu compliqué). Nous voilà enfin à 4 autour de la table, dernières rescapées d'un groupe de 18... nos compagnons de route ayant dû se lever à une heure encore plus matinale que nous pour prendre un autre avion... allez comprendre pourquoi.

Commentaires

Avez-vous ri, pleuré, eu envie de partager une expérience en me lisant, ou aimé les photos... ou pas... et si vous m'écriviez un petit mot ? Les questions sont les bienvenues même si je ne suis pas sûre d'avoir la réponse

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